Ça Se Passe Là-Haut

Ça Se Passe Là-Haut

L'infini se contemple indéfiniment.

Eric Simon

Astronomie, astrophysique, cosmologie, astroparticules...

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Un séjour de longue durée dans l'espace bousille les yeux

C'est un phénomène peu connu du grand public, mais la NASA le connaît et le craint depuis une dizaine d'années : les séjours de longue durée dans l'espace affectent durablement la vision des astronautes. 80% des astronautes ayant séjourné plus de 6 mois en orbite ont des problèmes de vision une fois rentrés, des problèmes qui ne disparaissent pas.

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Un impact géant il y a 3,8 milliards d'années à l'origine d'un cratère lunaire atypique

Des planétologues ont reconstruit la collision géante qui a produit l'un des plus gros cratères de la Lune il y a 3,8 milliards d'années. Ils l'ont observé via le champ gravitationnel lunaire, puis ont simulé les premières heures qui ont suivi l'impact et identifient les processus à l'origine de ce bassin d'impact à multiples anneaux.

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Les étoiles qui se déforment tel le battement d'un coeur

Certaines étoiles observées par le télescope chasseur d'exoplanètes Kepler, montrent un comportement unique, elles ont pour cela été baptisées des "étoiles à battement de cœur" (ou étoiles HB, heartbeat stars). Il s'agit d'étoiles binaires dont la luminosité tracée en fonction du temps ressemble étonnamment à un électrocardiogramme.

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Remise en doute de l'existence de l'accélération de l'expansion cosmique

On s'en souvient, il y a cinq ans, Saul Perlmutter, Brian Schmidt et Adam Riess recevaient le prix Nobel de physique pour leur découverte d'une anomalie majeure dans le taux d'expansion de l'Univers via l'observation de supernovas, publiée en 1998. Cette accélération de l'expansion a été depuis attribuée à une constante cosmologique Λ (Lambda), d'origine non connue, une énergie noire, mais néanmoins nouveau socle du paradigme cosmologique et de son modèle standard.
Mais aujourd'hui, trois physiciens anglais de l'université de Oxford viennent mettre en doute cette découverte en montrant que la signifiance statistique des résultats sur les supernovas Ia est bien plus faible que celle clamée il y a 18 ans.