Cette année, la Lune nous en veut, elle sera pleine lors de la nuit du 13 au 14 décembre, la nuit du maximum des Géminides... Mais qu'à cela ne tienne, vous pourrez quand-même apercevoir des bolides malgré la "pollution" lunaire...
Astronomie, astrophysique, cosmologie, astroparticules...
Cette année, la Lune nous en veut, elle sera pleine lors de la nuit du 13 au 14 décembre, la nuit du maximum des Géminides... Mais qu'à cela ne tienne, vous pourrez quand-même apercevoir des bolides malgré la "pollution" lunaire...
Après de long mois d'arrêt pour améliorer ses détecteurs et ses sous-systèmes, le détecteur d'ondes gravitationnelles LIGO vient, le 30 novembre, de revenir en traque de nouvelles fusions de trous noirs et pourquoi pas de fusions d'étoiles à neutrons..
La présence de galaxies massives seulement quelques milliards d’années après la singularité initiale pose de nombreuses questions aux astrophysiciens, parmi lesquelles : comment ont-elles pu agglomérer suffisamment de gaz moléculaire froid pour former aussi rapidement quantité d’étoiles et grossir aussi vite ? Une étude parue cette semaine dans Science fournit un début de réponse à cette question cruciale.
Notre système solaire s'est formé il y a 4,567 milliards d'années lorsqu'un événement à perturbé le nuage de gaz et de poussières qui se trouvait là, produisant son effondrement gravitationnel. Une théorie propose depuis une quarantaine d'années que cet événement soit l'explosion d'une supernova, mais sans en avoir beaucoup de preuves. Aujourd'hui, une équipe d'astrophysiciens apporte une piste observationnelle sous la forme de résidus d'éléments radioactifs qui permettent de remonter à la nature de cette supernova initiale.
Une étude révèle que la Lune a dû comporter de très grandes quantités d'eau au moment de sa formation, ce qui relance le débat sur l'origine de l'eau terrestre. Elle indique également que la Lune devrait posséder encore aujourd'hui de grands réservoirs d'eau.