La composition isotopique des météorites diffère selon leur provenance dans le système solaire, de quoi fournir des clés de compréhension sur l'origine de tout le système des planètes de notre système solaire. Une étude parue dans Nature Astronomy.
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La composition isotopique des météorites diffère selon leur provenance dans le système solaire, de quoi fournir des clés de compréhension sur l'origine de tout le système des planètes de notre système solaire. Une étude parue dans Nature Astronomy.
Notre galaxie a connu un événement de formation intense d'étoiles il y a environ 1 milliard d'années conduisant à la production de 5% de ses étoiles en moins de 100 millions d'années, c'est ce que montre une collaboration internationale d'astrophysiciens en étudiant les étoiles du centre galactique. Cet épisode d'intense activité pourrait être liée à l'interaction de la Voie Lactée avec une autre galaxie. Une étude publiée dans Nature Astronomy.
Le réseau de radiotélescopes ALMA a encore frappé. Il vient de permettre à une équipe d'astronomes de débusquer une galaxie poussiéreuse formatrice d'étoiles qui est située moins de 1 milliard d'années après la singularité initiale de l'Univers, exactement 970 millions d'années après. La lumière de cette galaxie dénommée MAMBO-9 a donc mis près de 13 milliards d'années à nous parvenir. La prouesse d'ALMA ici est d'avoir identifié cette galaxie pour la première fois sans recours à une amplification de lentille gravitationnelle. L'étude est parue dans The Astrophysical Journal.
PSR J0952-0607 est le second pulsar le plus rapide que l'on connaisse : il fait 707 tours sur lui-même en une seule seconde. Il a été détecté initialement par son rayonnement radio pulsé à la fréquence qui est celle de sa rotation, mais aujourd'hui, des astrophysiciens européens viennent de découvrir que ce pulsar extrême produit aussi des rayons gamma pulsés. Ils publient leur étude dans The Astrophysical Journal.
Encelade, satellite de Saturne de 500 km de diamètre, montre des fissures longilignes au niveau de son pôle sud, par lesquelles s’échappe de l’eau de son océan de subsurface, liquide et chaud. Ces « rayures de tigre » comme les ont surnommées les planétologues sont étonnamment parallèles entre elles et espacées de manière régulière. Aujourd’hui, une équipe américaine parvient à expliquer l’apparition de ces structures dans la croûte glacée de Encelade. Une étude parue dans Nature Astronomy.