La présence de galaxies massives seulement quelques milliards d’années après la singularité initiale pose de nombreuses questions aux astrophysiciens, parmi lesquelles : comment ont-elles pu agglomérer suffisamment de gaz moléculaire froid pour former aussi rapidement quantité d’étoiles et grossir aussi vite ? Une étude parue cette semaine dans Science fournit un début de réponse à cette question cruciale.