Une équipe internationale montre grâce à des simulations que les premiers trous noirs supermassifs seraient nés dans des gros réservoirs de gaz turbulents de l'Univers primordial, sans avoir recours à des environnements exotiques finement réglés, contrairement à ce que l'on pensait depuis près de vingt ans. L’étude est publiée dans Nature cette semaine.