L'excès de positrons dans le flux de rayons cosmiques a été mis en évidence il y a plus de 10 ans (en 2009) par l'expérience PAMELA. Depuis, cette anomalie a été confirmée par d'autres expériences comme Fermi-LAT (indirectement) et surtout par les détecteurs spatiaux AMS-02 et DAMPE (directement). L'origine de cet excès est recherchée activement, avec deux principaux coupables potentiels identifiés : des pulsars proches ou la matière noire. On comprend l'importance du sujet et pourquoi nous en avons beaucoup parlé ici depuis 2011[ici] [là]. Aujourd'hui, une équipe indienne jette un pavé dans la mare en proposant une nouvelle possibilité pour expliquer cet excès d'antiélectrons. Une étude publiée dans le Journal of High Energy Astrophysics.