En 2017, la collaboration internationale AMS qui exploite le détecteur AMS-02 à bord de l'ISS avait publié des résultats de précision sur les flux de rayons cosmiques constitués de noyaux atomiques de faible masse (hélium, carbone et oxygène). Trois ans plus tard, ce sont de nouveaux résultats qui sont publiés, cette fois-ci sur des noyaux plus lourds : le néon, le magnésium et le silicium, avec à la clé des surprises qui vont faire travailler les théoriciens. L'étude est parue dans Physical Review Letters.