Un des problèmes difficilement explicables par le modèle dominant actuel de la matière noire, la « Cold Dark Matter » (CDM) est l'existence d'une très grande diversité des formes des courbes de rotation des galaxies. On se souvient que c’est justement l’observation de ces courbes de rotation (la vitesse de rotation des étoiles et du gaz en fonction de la distance du centre de la galaxie) qui a permis il y a 50 ans de mettre le doigt sur une grosse anomalie dynamique/gravitationnelle, menant finalement au concept de matière noire. Le modèle dominant actuel propose depuis quelques décennies une matière noire « froide » constituée de particules massives interagissant très faiblement avec la matière ordinaire autrement que par la gravitation, et n’interagissant pas sur elle-même...