Uranus pue l'oeuf pourri. Ou si vous préférez, la belle bleue fouette l'odeur acre de nos plus sympathiques geysers ou des plus pénibles boules puantes de nos cancres d'antan. Des astronomes viennent en effet de mesurer la quantité de sulfure d'hydrogène (H2S) présent dans l'atmosphère d'Uranus, et il y en a suffisamment pour que ça ne sente pas la rose, ce qui permet de déduire certains éléments sur la formation de la géante glacée...